Martin Dubreuil dans La grande noirceur de Maxime Giroux (source image: TIFF)
Il n’y aura donc finalement aucun premier film québécois de fiction cette année à Toronto. Les six longs métrages qui y seront présentés – 4 en première mondiale – sont en effet des Å“uvres de cinéastes reconnus. La sélection canadienne annoncée hier fera une belle place au cinéma féminin et autochtone, avec pas moins d’une quarantaine de films, dont plus de la moitié sont des courts métrages.
Cette année, le TIFF (du 6 au 16 septembre) présentera donc, en plus du film de Kim Nguyen The Hummingbird Project dont nous vous parlions récemment : La chute de l’empire américain de Denys Arcand (projection spéciale) ; le très attendu The Death and Life of John F. Donovan de Xavier Dolan qui aura droit à une première mondiale sûrement très courue ; La disparition des lucioles (section Contemporary World Cinema) de Sébastien Pilote qui fera là sa première nord américaine après avoir été projeté à Karlovy Vary le mois dernier ; La grande noirceur (section Contemporary World Cinema), second long métrage de Maxime Giroux (Félix et Meira) dans lequel on retrouve Martin Dubreuil, entouré de stars importantes telles que Sarah Gadon, Reda Kateb et Romain Duris ; et enfin, toujours dans la section Contemporary World Cinema, Les salopes ou le sucre naturel de la peau, second long métrage de fiction de Renée Beaulieu après Le garagiste.
Voilà pour l’instant les titres québécois de la 43e édition du TIFF, mais la totalité de la sélection, notamment les sections compétitives, n’a pas encore été dévoilée.
