Critiques et avis personnels sur les films québécois de fiction sortis en salle ou vus lors des festivals.
25 juillet 2014
Retrouvant l’esprit des contes pour tous des années 80, La gang des hors-la-loi est une sympathique fable moderne qui plaira à toute la famille. Les codes du genre ne sont pas et remis en cause et encore moins transgressés, mais l’essentiel est ailleurs : le film sait se faire attachant
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11 juillet 2014
Malgré une volonté évidente d’élever son sujet, La voix de l’ombre, premier long métrage autodidacte et indépendant d’Annie Molin Vasseur, se révèle maladroit et pompeux. Bien loin de la note de passage.
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9 juillet 2014
Porté à bouts de bras par une brochette de comédiens aux indéniables talents d’improvisateurs, Le vrai du faux se résume à exposer un sujet sans intérêt et des personnages dont la profondeur ne se mesure qu’à la vigueur de leurs tirades comiques.
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27 juin 2014
Malgré quelques lacunes, Exil parvient à créer un tumultueux voyage dans lequel les rencontres fortuites ménagent les espaces de réclusion, montrés ici comme autant de pièces d’une mosaïque américaine bigarrée, dans laquelle la recherche de repères est un voyage incessant. Michaud
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13 juin 2014
Certes habilement réalisé et mené tambour battant, La petite reine manque un peu de la profondeur nécessaire pour aborder ce qui restera longtemps comme le plus gros scandale sportif québécois ou pour le déplacer sur un terrain plus global.
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30 mai 2014
Derrière les images lumineuses et par delà la justesse de l’interprétation de cette comédie coûteuse destinée avant tout au marché anglophone se cache une morale douteuse qui fiche toute l’entreprise en l’air,
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17 mai 2014
Un résultat d’autant plus incompréhensible qu’avec plus d’un million de dollars de budget, Mme Barbancourt bénéficiait d’un budget que bien des films québécois indépendants n’ont pas.
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15 mai 2014
Les signes avant-coureurs étaient suffisamment nombreux pour donner un avant-goût de ratage, de mauvais film dont on ne sait trop quoi faire mais qu’il faut pourtant bien montrer au public.
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2 mai 2014
Uvanga est un film sobre et sincère dans lequel émergent de profonds questionnements sur l’appartenance et l’identité, malgré l’espoir du rapprochement créé par l’esprit de famille.
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Pour son premier long métrage de fiction, la réalisatrice adapte un roman de Grégory Lemay paru en 2007.
Drame psychologique dans lequel un entrepreneur en construction des Laurentides tente de garder sa famille soudée, malgré les écueils et l’usure du temps.
