Critiques des films

Critiques et avis personnels sur les films québécois de fiction sortis en salle ou vus lors des festivals.

[Critique] Le coq de St-Victor ménage la chèvre et le chou

21 février 2014

Fable rurale mélangeant les rythmes et les tons, Le coq de St-Victor est un produit hybride haut en couleurs mais dont le scénario s’avère assez mal ciblé.
Lire la suite
[Critique] Three Night Stand : balle de neige molle

8 février 2014

Rien ne tient vraiment la route dans cette comédie dramatique angloquébécoise qui plonge les tourments d’un couple en proie au mensonge dans la torpeur hivernale des Laurentides.
Lire la suite
[Critique] Arwad : deux séparations

7 février 2014

Arwad, un premier long métrage tout en finesse qui évolue entre l’univers de trois personnages déchirés par le deuil et le déracinement. Sobre et un peu froid.
Lire la suite
WhiteWash : le genre que j’ai rajeuni

24 janvier 2014

Dans le genre « films de genre qu’on aime », voici Whitewash, d’Emanuel Hoss-Desmarais. Un premier long qui en dit long.
Lire la suite
Mes cinq films québécois de 2013

24 décembre 2013

L’heure des bilans est arrivée. Voici donc un rapide passage en revue des cinq longs métrages de fiction québécois qui, selon nos critères, auront marqué l’année 2013.
Lire la suite
[Critique] Ressac: trois femmes à la mer

23 décembre 2013

Pour Ressac, sa première fiction, la documentariste Pascale Ferland a choisi d’illustrer la résistance de la cellule familiale en se basant sur des faits malheureusement bien connus des régions éloignées.
Lire la suite
[Critique] Diego Star : vies à la dérive

9 décembre 2013

Glacé par la torpeur hivernale et baigné de lumières blafardes, Diego Star est une première œuvre sobre dans laquelle deux être solitaires rapprochés par les circonstances tentent de faire face à des contingences qui les dépassent.
Lire la suite
[Critique] Il était une fois les Boys : vieux succès

6 décembre 2013

Pour ce cinquième épisode d’une franchise qui commence à tirer en longueur, on retombe dans l’enfance des Boys (mais l’équipe s’appelle les As) et on se gave de quétainerie. Malgré une surdose de bons sentiments, cette soupe aux grimaces passe assez mal .
Lire la suite
[Critique] Le démantèlement: chant du cygne et amour paternel

15 novembre 2013

Oeuvre pleine et entière, Le démantèlement décrit lumineusement un acte d’amour irrationnel. Le scénario dévoile lentement un portrait teinté de nostalgie d’où ressortent la dignité et l’abnégation d’un père esseulé et fier. Malgré quelques longueurs, ce second film très
Lire la suite