Critiques des films

Critiques et avis personnels sur les films québécois de fiction sortis en salle ou vus lors des festivals.

[CRITIQUE] La femme de mon frère: l’amour ça arrange tout

7 juin 2019

Dans un paysage cinématographique québécois très formaté, ce petit film pop survolté se démarque sans peine.
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[CRITIQUE] Nous sommes Gold: chronique abitibienne

29 mars 2019

Développant en parallèle plusieurs histoires individuelles et collectives, Éric Morin dépeint avec justesse l’atmosphère d’une communauté où chacun vit son deuil et sa culpabilité à différents niveaux.
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[CRITIQUE] CA$H NEXU$: revers de fortune

23 mars 2019

Porté par des compositions visuelles élaborées qui confirment la grande maîtrise formelle du cinéaste, CA$H NEXU$ possède son lot de moments forts, mais reste un exercice de style un peu aride.
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[CRITIQUE] The Hummingbird Project: les gars du câble

22 mars 2019

Avec The Hummingbird Project, son troisième long métrage en Anglais, Kim Nguyen signe un divertissement de qualité, dans lequel l’humain fait à nouveau face aux défis technologiques.
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[Critique] Répertoire des villes disparues : horribles absences

15 février 2019

Répertoire des villes disparues, une œuvre originale, subtile et captivante, résolument ancrée dans l’ADN de son auteur.
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[Critique] Les routes en février : torpeur presque irréelle

8 février 2019

Les routes en février est un premier film sensible et délicat, dans lequel les regards, les attentes et les malaises en disent aussi long que bien des dialogues. À voir sans faute sur grand écran.
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[CRITIQUE] Une colonie : moi et l’Autre

1 février 2019

Geneviève Dulude-De Celles offre un regard juste et empathique sur les incertitudes de la jeunesse dans Une colonie, un premier long de fiction très prometteur.
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[CRITIQUE] La grande noirceur: d’une grande luminosité

25 janvier 2019

Avec son intrigue mystérieuse reposant sur des scènes fortes, des images à couper le souffle et la force de son interprétation, La grande noirceur est indéniablement un objet de cinéma pur, envoûtant et audacieux.
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[CRITIQUE] Impetus : entre réel et métaphore

18 janvier 2019

Avec Impetus, son premier long métrage depuis 2008, Jennifer Alleyn propose une histoire originale dans laquelle les errances émotionnelles répondant aux aléas de la création.
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