Prédictions, récapitulatifs, gagnants et oubliés, et tous les articles reliés aux récompenses annuelles du cinéma québécois (les ex prix Jutra) et canadien (les Prix Génie devenus par la suite les Prix Écrans Canadiens). Les représentants canadiens aux Oscar sont aussi classés ici.
19 septembre 2012
Nombreux étaient ceux qui pensaient que Laurence Anyways était de facto en très bonne position pour devenir le représentant canadien dans la course à l’Oscar du meilleur film en langue étangère.
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16 mai 2012
Le Regroupement des distributeurs indépendants de films du Québec sera parmi les sélectionneurs des films • Une réévaluation de la réglementation des Jutra est également en cours.
Lire la suite 12 mars 2012
Monsieur Lazhar remporte haut la main les honneurs de cette 14e soirée des Jutra en repartant avec sept prix pour neuf nominations.
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9 mars 2012
C’est sans surprise que notre représentant aux Oscar a dominé la 32e cérémonie des Génie • Les longs métrages québécois raflent treize des 18 prix possibles.
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8 mars 2012
Il y a quelques semaines un membre votant aux Jutra postait une photo compromettante du bulletin de vote qu’il avait reçu. Cette publication se retrouve aujourd’hui au coeur d’une micro-polémique comme on les aime.
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23 février 2012
Anne Émond, réalisatrice de Nuit #1 a été honorée aujourd’hui du prix Claude-Jutra, remis par l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision (ACCT).
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1 février 2012
Car, et c’est devenu une habitude hélas, il y a dans cette sélection des absents de marque et des choix plutôt obscurs, pour ne pas dire plus.
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31 janvier 2012
21 films québécois de l’an dernier concourreront pour un Jutra. Cette édition 2012 se caractérise par l’absence d’un leader, six films étant cités à peu près équitablement.
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24 janvier 2012
Après Incendies l’an dernier, c’est au tour de Monsieur Lazhar de se retrouver dans la liste des cinq finalistes.
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Drame psychologique dans lequel un entrepreneur en construction des Laurentides tente de garder sa famille soudée, malgré les écueils et l’usure du temps.
Pour son premier long métrage réalisé en solo, Stéphane E. Roy transpose au grand écran une pièce qu’il avait créée en 2022 avec Benoît Roberge.
