En l’espace de quinze ans et de cinq longs métrages, Maxime Giroux s’est confortablement installé parmi les cinéastes québécois qui comptent et dont on attend les projets avec impatience. D’abord remarqué pour ses oeuvres intimistes exigeantes, voire déstabilisantes (Demain, Jo pour Jonathan), il a, en 2015, frappé un beau coup de circuit avec le superbe Félix et Meira, avant de se tourner vers la télé, de réaliser le captivant OVNI qu’est La grande noirceur, et d’effectuer un changement de cap radical avec Norbourg, oeuvre aux visées commerciales plus nettes.
Alors qu’il s’apprête à tourner son premier film en anglais (In Cold Light), la Cinémathèque québécoise fait le point sur sa carrière avec un cycle composé de trois courts et quatre de ses longs métrages.
C’est à voir du 27 septembre au 3 octobre prochain.