Fondée par une poignée de passionnés en février 1971, l’Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV) continue sans broncher de produire des films d’auteur de grande qualité, de révéler des talents et de les accompagner dans leur démarche créative. Depuis 50 ans, cette société de production québécoise d’un genre bien particulier, qui rappelons-le avait reçu un juin l’Iris Hommage 2021 remis par Québec Cinéma, s’est non seulement taillé une réputation sans faille mais a aussi su durer dans le temps et évoluer au fil des nombreux soubresauts que l’industrie a connus.
Pour saluer le 50ème anniversaire de l’ACPAV, la Cinémathèque québécoise programme un cycle de projections de plusieurs productions de « acpaviennes », certaines très connues, d’autres moins.
Voici, à titre indicatif, les films proposés : La femme de l’hôtel de Léa Pool (10 septembre), Les voleurs de jobs de Tahani Rached (11 septembre), La donation, en présence de Bernard Émond (13 septembre), Le party de Pierre Falardeau, présenté par Bernard Émond (14 septembre), La Sarrasine de Paul Tana, présenté par Bernard Émond (Mardi 14 septembre), Le démantèlement de Sébastien Pilote (Jeudi 16 septembre), suivi d’un programme de courts métrages, Mort subite d’un homme-théâtre, en présence de Jean-Claude Coulbois (18 septembre), Ce qu’il faut pour vivre en présence de Benoit Pilon (20 septembre), L’eau chaude, l’eau frette d’André Forcier, une présentation d’Éléphant (21 septembre), Labrecque, une caméra pour la mémoire en présence de Michel La Veaux (25 septembre), 20 h 17 rue Darling de Bernard Émond (27 septembre).
Enfin, signalons l’exposition photos « ACPAV 50 ans de cinéma libre », installée dans le Foyer Luce-Guilbeault de la Cinémathèque jusqu’au 31 octobre.
Infos et horaires > https://www.cinematheque.qc.ca/fr/cycles/acpav-50-ans/
