Anthologie cinéma québécois à New York
30 mars 2024
Présentation de plusieurs oeuvres de fiction québécoises emblématiques des années 1970.
Lire la suiteDenys Arcand est né le 24 juin 1941 dans la ville de Québec. Son premier film, Seul ou avec d’autres, est tourné en 1961 à l’Université de Montréal. En 1962, Arcand commence sa carrière de scénariste-réalisateur à l’Office national du film du Canada. Il y dirige une série de documentaires historiques et politiques mais trouve le temps de réaliser trois films de fiction: La maudite galette (1972), Réjeanne Padovani (1973) et Gina (1975). L’échec commercial de ce dernier donne l’occasion à Arcand de se tourner à nouveau vers le documentaire (La lutte des travailleurs d’hôpitaux). Après le refus de subventions pour son scénario de Maria Chapdelaine, Arcand se tourne vers la la publicité et la télévision. Son scénario de Duplessis, en 1978, pour la télévision de Radio-Canada, est un immense succès tandis que Le confort et l’indifférence en 1981 est salué pour son impertinence et sa noirceur. En 1983, à l’ONF, Denys Arcand entreprend l’écriture d’un nouveau synopsis de fiction intitulé Conversations scabreuses qui deviendra par la suite Le déclin de l’empire américain. Arcand signait alors le film qui allait devenir le premier grand succès international du cinéma québécois. Ce succès est suivi de Jésus de Montréal en 1989. Ces deux films sont mis en nomination pour les Academy Awards comme meilleurs films étrangers; une première dans l’histoire du cinéma québécois de fiction. Après quelques films mineurs dans l’oeuvre de Arcand (Love and humain remains en 1994, Joyeux calvaire en 1996 et Stardom en 2000), il retrouve le succès avec l’Oscar du meilleur film étranger pour Les invasions barbares, seul Oscar remporté par un long métrage de fiction québécois à ce jour. En 2014, Denys Arcand retrouvera le chemin des festivals avec une comédie romantique intitulée Deux nuits/Two nights.
30 mars 2024
Présentation de plusieurs oeuvres de fiction québécoises emblématiques des années 1970.
Lire la suite25 octobre 2023
Alors que son « Testament » fait un tabac dans les salles, Denys Arcand reçoit le Prix de la Guilde pour l’ensemble de sa carrière.
Lire la suite15 mai 2019
« Naturellement, c’est l’art, du moins pour certains d’entre-nous, qui sauve. »
Lire la suite4 juin 2012
Le retour de Denys Arcand derrière la caméra c’est ce qui ressort de cette liste de la SODEC, qui soutient également le prochain film de Sophie Deraspe et le premier film de fiction de Mathieu Roy..
Lire la suite22 février 2009
ACTE 1 Un chanteur à l’eau de rose traverse un décor romanesque (Rufus Wainwright). Jean-Marc Leblanc rêve. Il est dans les bras d’une jeune actrice blonde (Diane Kruger) et prend une douche fictive avec elle. Jean-Marc emmène ses deux filles adolescentes à l’école dans sa Hyundai
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